Monsieur le secrétaire d'État, vous évoquez à juste titre la nécessité pour l'Union européenne de promouvoir l'Europe sociale. L'Italie est le deuxième pays bénéficiaire du plan Juncker, pour 6,5 milliards d'euros. Au sommet social européen de Göteborg, en novembre dernier, Emmanuel Macron, a annoncé sa volonté de se servir de ce plan à des fins sociales pour notre pays. Nous avons utilisé 1,5 milliard du plan pour la formation des jeunes dans les campus et lycées. Il s'agit d'un investissement de long terme avec des effets transnationaux très positifs, en particulier pour le marché intérieur. L'Italie souhaite-t-elle également utiliser ce bel outil économique en investissant dans l'éducation, ce qui permettrait de multiplier les synergies ?