C'est également ce qu'on m'a dit, la veille du jour où j'ai appris ce qu'il allait véritablement se passer. Il m'a en effet été confirmé que l'uranium de retraitement serait enrichi à l'usine Georges-Besse II, ce qui est en effet techniquement possible ; le seul problème est que, pour cela il faut au préalable convertir l'oxyde d'uranium – U3O8 – en Hexafluorure d'uranium – UF6 –, et que nous n'avons pas les installations pour le faire en France.