En ce qui concerne la TVA sur l'équitation, la France a saisi la Commission européenne, et nous allons suivre le cheminement de cette demande avec le ministère de l'économie et des finances.
Pour ce qui est de l'enseignement supérieur, nous travaillons avec Mme Vidal : nous sommes sur la même longueur d'ondes. Nous nous attachons à la simplification et la prospective des compétences. La réforme que nous allons conduire s'attachera à mieux cibler les publics et à améliorer la fluidité des parcours.
S'agissant du numérique, nous souhaitons effectivement amplifier l'élan de la filière économique du sport, et construire une feuille de route dédiée à SportTech. Il y a un mois, nous avons collaboré étroitement avec « le Tremplin » qui est l'incubateur de SportTech à Paris. Nous sommes également en train de relancer l'Observatoire de l'économie du sport.
Madame Rubin, vous me parlez du Stade de France et des Jeux olympiques et j'entends votre scepticisme. Cent ans après les derniers Jeux à Paris, nous travaillons depuis deux ans et demi pour valoriser les Jeux de Paris. J'ai ainsi coanimé avec François Chérèque l'atelier sur le bénévolat et le volontariat. En effet, lorsque nous avons réalisé l'étude de faisabilité pour les Jeux, nous avons décidé de travailler en ateliers. Nous avons travaillé sur le numérique et les Jeux, la finance et les Jeux, nous avons étudié les faux pas des autres pays, tout ceci afin de proposer une candidature écologique, économique, dynamique, de nature à transformer positivement la France et l'Europe, et à faire rayonner notre pays.
Ne crachons pas dans la soupe : l'impact économique des Jeux olympiques est de 11 milliards d'euros ; ils sont un vecteur de valorisation et de création d'emplois. Regardez comment nous travaillons, soyez constructive, amenez vos idées afin de contribuer à l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques pour un autre regard sur la pratique du handisport, pour la fierté de notre pays, pour le bonheur du monde, pour nos enfants.