Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, madame Auconie, je vous prie d'excuser Stéphane Travert, actuellement au banc du Sénat. Vous m'interrogez sur la filière bois ; la bonne nouvelle, c'est qu'on ne peut pas faire pire qu'hier ! On a une marge de progression importante. Cela fait des années que nous nous désespérons – à raison – de voir nos chablis partir en Chine et revenir sous forme de parquet. Dorénavant, on va s'organiser différemment parce que la filière présente un énorme potentiel économique, écologique et énergétique.