Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le président de la commission et rapporteur, mes chers collègues, oui, nous nous apprêtons effectivement à dépenser plus de 300 milliards d'euros pour nos armées, mais non, mes chers collègues des groupes GDR et FI, nous ne le faisons pas pour être en conformité avec l'objectif de 2 % du PIB fixé par l'OTAN, mais parce que nos armées en ont besoin.