et l'utilisation d'une approche dialectique, nous voterons bien entendu cette proposition de résolution européenne.
Pour autant, je partage les arguments de François Ruffin. L'objectif, ici, était de trouver un consensus, ce qui appelle forcément des compromis. Si j'avais eu François Ruffin comme co-rapporteur, le texte aurait sans aucun doute été écrit différemment. Mais il n'aurait pu, alors, être porté comme la voix de la France dans les discussions sur la politique agricole commune. Au final, nous aurions cependant eu quelque chose de très beau : la quintessence de la révolution agraire !