En guise de conclusion, j'aimerais attirer l'attention de chacun sur un point qui est souvent source de confusion. J'ai moi-même souvent commis l'erreur d'employer le terme de « victime » en parlant de nos militaires blessés. En échangeant avec nos glorieux aînés, j'ai réalisé combien c'était inapproprié. Ne faisons plus cette confusion. Ils meurent en héros, ils sont blessés de guerre. Blessés, ils espèrent avant tout retourner au feu, repartir au combat, et rejettent l'appellation de victime, qui se rapporte aux civils, notamment les victimes des attentats.