Je laisserai Sylvie Mathiaud parler des partenariats. Le problème des maisons de santé, c'est qu'elles démarrent sans aucune aide. Au départ, nous n'avons rien eu. Ensuite, nous avons bénéficié du fonds d'intervention régional (FIR), puis de l'expérimentation des nouveaux modes de rémunération (ENMR) et des nouveaux modes de rémunération, et, depuis un an, de l'accord conventionnel interprofessionnel (ACI). Quel cheminement incroyable pour toucher une somme qui permet, d'abord, d'ouvrir l'accès aux soins à tous les patients, ensuite, d'assurer une meilleure coordination, et, enfin, de mettre en place un système d'information ! Ces trois axes permettent de toucher un pactole via l'ACI, en proportion du nombre de patients et de professionnels et de l'investissement. Auparavant, il a fallu plusieurs années de bénévolat, et il en faut encore. Heureusement, l'expertise dont nous avons bénéficié grâce à Sylvie Mathiaud, nous a permis, dès le départ, au sein de la CPTS, de bénéficier d'un temps de coordination.