Il y a une forme de consensus pour dire qu'une meilleure régulation, associée à la télémédecine et au dossier médical partagé, contribuerait à désengorger les urgences. Nous travaillons en ce sens avec les urgentistes.
Nous avons tiré les leçons du passé et l'assurance maladie s'est engagée à mettre à disposition de tous les citoyens un dossier médical partagé en octobre. Toutes les structures y auront accès, y compris SOS Médecins ou les plateformes de régulation.
Pour la télémédecine, il y a aussi, vous le savez, une volonté d'aller très vite. La tarification des actes pratiqués dans ce cadre sera accessible dès octobre et dégagera beaucoup de temps médical.
Pour finir, je précise que le plan d'accès aux soins n'a rien de figé. Si de nouvelles idées ou de nouveaux besoins apparaissent, nous le ferons évoluer.