Je partage l'analyse de la rapporteure : le principe de précaution est encore extrêmement mal compris et interprété. C'est bel et bien un principe qui incite à l'action, en particulier par la recherche, dès lors qu'il s'agit de prévenir un dommage irréparable qui pourrait survenir pour l'environnement. Il est très encadré et de bon sens. Ce n'est pas un principe de prudence, mais d'audace.