Je vous remercie. Les choses sont donc extrêmement claires, et nous ne pouvons que nous en féliciter.
Si tout peut sembler parfait, permettez-moi de vous poser un cas d'école. Quand, il y a de nombreuses années, la France a organisé un référendum sur les Comores, l'une des îles de l'archipel a décidé de rester française. Or cette décision, dont je me félicite, a été contestée par l'ONU. À l'heure actuelle, nous ne sommes toujours pas en conformité avec les résolution de l'ONU, pour laquelle les Comores forment un ensemble.