En effet, si une telle liberté ne concernait que 10 % d'entre elles, cela justifierait que l'on se batte pour elles. Je ne comprends donc pas ces arguments qui contredisent en outre, madame la ministre, le discours de vos services dans les territoires.
La question essentielle, dans ce débat, est celle de la possibilité d'exercer de façon différenciée la compétence au sein d'un même EPCI, c'est-à-dire, en gros, de faire coexister une régie et une délégation de service public.
Or, dans les territoires, certains préfets demandent aux collectivités territoriales de se conformer à un seul mode de gestion : c'est inacceptable.