Je ne suis ni enthousiasmé ni convaincu par les explications de notre rapporteure. Le flou artistique et juridique qui entoure la réforme du CESE n'emporte pas notre conviction. Je pense notamment à la place des organisations de jeunesse et à leur capacité à apporter une contribution pertinente à la vie publique. Nous savons à quel point il est un enjeu majeur de réduire la fracture qui se creuse chaque jour un peu plus entre la puissance publique et nos concitoyens, notamment les plus jeunes.
Dans cet amendement, il s'agit d'autre chose. Nous souhaitons permettre à 500 000 électeurs inscrits sur les listes électorales d'être à l'initiative de la loi et de coconstruire avec nous la législation.