Ma remarque concernant le Sénat n'était pas mon argumentation principale. Par ailleurs, il n'y a pas de marchandage. Nous sommes liés par les travaux que nous avons à mener ensemble et par l'exigence de trouver un compromis susceptible d'être approuvé par les trois cinquièmes des membres de nos deux assemblées. Nous aurons beau écrire tout ce que nous voulons, si nous n'avons pas cette majorité des trois cinquièmes, il n'y aura pas de révision constitutionnelle.