Si je suis intervenue hier à ce sujet, c'est parce que nous sommes montrés du doigt dans différents rapports, notamment celui de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Il faut mettre à profit notre débat pour franchir, d'ici à l'examen du texte en séance publique, un pas supplémentaire par rapport aux lois pour la confiance dans la vie politique. Nous devons faire un geste car nous ne pouvons pas laisser passer cette révision de la Constitution sans l'évoquer.