Je rejoins M. Gosselin. Nous ne sommes pas contre le principe d'une réduction du nombre des parlementaires mais elle est tout de même ici de 30 % ! Dès lors, d'une certaine façon, on essaie de se raccrocher aux branches : on insiste sur la nécessité qu'il y ait au moins un député et un sénateur dans chaque département et on se rend compte maintenant que le suppléant pourrait être utile dans une circonscription de grande taille… Tout cela montre en tout cas la faiblesse de l'argumentation censée justifier la baisse du nombre de députés.