Nous souhaitons éviter une régression démocratique et donc maintenir une représentation paritaire des femmes et des hommes quels que soient les éventuels changements des modes de scrutin à venir. Une baisse substantielle de la représentation des femmes poserait problème. Nous y avons travaillé pendant cinq ans et vous avez transformé l'essai, si j'ose dire, à l'occasion des dernières élections législatives, c'est pourquoi nous entendons poser un principe que j'appellerais de non-régression.