Il est exact que le contrôle parlementaire a été fluide mais je regrette, madame la présidente de la commission des Lois, qu'il ne constitue pas un droit, tout comme, d'ailleurs, l'association de l'opposition à ce contrôle – M. Gosselin en sait quelque chose. Certes, ce n'est pas d'ordre constitutionnel, mais il me paraît nécessaire de garantir un droit de l'opposition sur l'état d'urgence. La précédente majorité l'a refusé, la vôtre, me semble-t-il, pourrait l'accepter.