Tout d'abord, il prévoit la lutte contre l'artificialisation des sols. Il faut comprendre que le sol vivant est devenu une terre rare et que nous ne pouvons plus condamner au béton l'équivalent d'un département français tous les dix ans. Afin de mettre un terme à ce fléau, le plan de sauvegarde de la biodiversité se donne un an pour définir une date à laquelle nous pourrons parvenir à zéro artificialisation nette et nous doter d'indicateurs précis afin de mesurer cette dynamique.