Je conclus, monsieur le président.
Nous engageons cette réforme constitutionnelle parce que nous avons pleinement conscience du décalage qui existe, de nos jours, entre le fonctionnement de nos institutions et les attentes de nos compatriotes. L'urgence climatique et l'urgence du péril qui pèse sur la diversité biologique sont autant de sources d'inquiétudes pour nos concitoyens.
Notre réforme est ambitieuse : elle grave au sommet de notre loi fondamentale l'assurance que les décideurs de la France de demain devront agir de sorte à rassurer nos compatriotes.