J'ai cosigné l'amendement de mon collègue François-Michel Lambert.
Il n'y a pas de plan B. Il n'existe pas de planète bis. Or, après la mobilisation internationale suscitée par la COP21, autour de la France qui l'a organisée et de l'accord que nous avons réussi à y obtenir, certains États se retirent de celui-ci, et notre planète court un vrai risque ; comme l'a dit mon collègue, il y va de l'avenir de nos enfants.
L'oubli du mot « climat » peut être facilement réparé. Je salue la commission du développement durable qui nous rejoint sur ce point. Votons en conscience. Il suffit d'ajouter un mot.