Monsieur le commissaire, dans le rapport extrêmement critique que l'Institut Montaigne a publié il y a quelques mois sur votre activité, il était notamment souligné – et ce point m'a paru très convaincant, au point d'ébranler mes certitudes sur l'intervention directe de l'État – la difficulté, pour les entreprises dont le capital est en partie détenu par l'État, d'agir avec l'agilité et la rapidité requises par la compétition mondiale. Pouvez-vous nous démontrer qu'il n'en est rien ?