Tout d'abord, permettez-moi de rappeler que la commission du développement durable a adopté pratiquement à l'unanimité le principe de non-régression : presque dans son ensemble, avec des représentants de tous les bords politiques, elle a affirmé que ce principe était indispensable. Pourquoi ? Parce que la vraie régression, c'est l'effondrement de la biodiversité, c'est l'augmentation des gaz à effets de serre, c'est la raréfaction des ressources, ce sont les gens qui meurent de la pollution de l'environnement : voilà la réelle régression !