Je conclus, monsieur le président. J'accueillais tout à l'heure un groupe d'enfants de ma circonscription et j'étais fier de leur montrer, comme vous face à des groupes de tous âges, chers collègues, l'article 1er de la Déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen. Celle-ci n'indique pas qu'il existe des gros, des grands, des puissants, des riches, des chevelus et des chauves. Elle n'indique pas davantage qu'il existe des hommes et des femmes. Elle dispose que tous les hommes naissent libres et égaux.