Or, sur ce point, je crois que nous avons besoin de temps. À mon ami Paul Molac, je répondrai – et ce n'est pas parce que je voudrais défendre à tout prix la législature précédente – que dans la mesure où il s'agissait de remettre en cause la loi Falloux, il était naturel que le gouvernement socialiste de l'époque et le groupe socialiste qui le soutenait aient été très vigilants et s'y soient opposés. Car la question qui était posée était bien celle-là, il ne s'agissait pas de soutenir l'enseignement plurilingue !