La réalité est qu'aujourd'hui, au XXIe siècle, 53 % des Françaises souhaitent, à juste titre, participer à ces deux pouvoirs. Or ce n'est pas en faisant régulièrement peser sur les femmes un soupçon d'incompétence que l'on permettra aux jeunes filles qui nous écoutent de se saisir des opportunités qui s'offrent à elles. Je souhaite donc appeler l'attention de l'ensemble des hommes qui siègent dans cette assemblée : nous interrogeons-nous régulièrement, à la fois dans les entreprises et à l'Assemblée nationale, de la compétence des hommes ?