La parole est à M. Jean-Félix Acquaviva.
Pour notre part, nous insistons sur la notion de respect de la dignité de chacun. Cette formulation nous semble être la plus consensuelle et la plus claire. La dignité humaine existe ; on doit et on peut la qualifier.
Cela étant, nous prenons la balle au bond à l'issue de la suspension de séance, qui a permis de formuler la volonté d'engager une coconstruction et d'aboutir à une rédaction permettant de réunir un véritable consensus. Compte tenu de l'importance du sujet et du principe considéré, nous retirons notre amendement, en espérant, comme notre collègue Philippe Vigier, qu'une véritable coconstruction démontrera sans faillir le caractère noble du travail constituant.