Mais, sans le référendum, jamais nous n'aurions pu régler la question de l'Algérie, qui fut si douloureuse, et jamais nous n'aurions eu l'élection du Président de la République au suffrage universel ; sans le référendum, le général de Gaulle n'aurait pas quitté le pouvoir au moment où il l'a fait – un départ malheureux pour moi. Une assemblée qui a été élue par 18 millions de Français, sur 45 millions d'électeurs, qui prétend détenir la vérité, cela m'étonne !
Vous nous dites, madame la garde des sceaux, que le référendum d'initiative partagée est une solution d'équilibre. Elle est tellement équilibrée, qu'aucun référendum d'initiative partagée n'a jamais eu lieu !
Le 19/12/2018 à 09:05, Laïc1 a dit :
Place aux gilets jaunes et au R.I.C.
Le pouvoir a voulu le silence total du peuple : il n'a récolté que la violence, en disant qu'aucune violence n'est légitime, que rien ne saurait justifier la violence, mais contraindre le peuple au silence forcé en ne le consultant jamais n'est-il pas la pire violence politique, psychologique et morale qu'un peuple puisse subir ?
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui