Ce n'est peut-être pas suffisant, certains voudraient aller beaucoup plus loin, mais il me semble que nous pourrions tous saluer cette étape qui, jusqu'ici, n'avait jamais été franchie, ni dans la réforme de 2003, consacrée à la décentralisation, ni dans celle de 2008. Disons qu'il s'agit d'une avancée.
Troisième point : je partage assez ce qu'a dit M. Habib : nous devons réinventer de nouveaux rapports entre l'État et les territoires. Reconnaissons que ce n'est pas très nouveau – pas plus que les introductions d'ours !