Madame la ministre, vous avez indiqué que la stratégie d'exportation s'inscrivait dans le strict respect des engagements internationaux de la France. Les ventes sont encadrées par un dispositif de contrôle très rigoureux que vous nous avez décrit. Force est toutefois de constater que vous ne parvenez pas à convaincre les organisations non gouvernementales et les associations de défense des droits de l'homme. Certains suggèrent, au nom de la transparence et de la démocratie, d'instaurer un débat au Parlement sur les exportations d'armements comme cela se fait au Royaume-Uni. Qu'en pensez-vous ?