Sans vouloir me défausser, permettez-moi de souligner que les CRRMP se trouvent davantage dans l'orbite de la sécurité sociale, même si nous suivons aussi ces structures, qui sont indispensables pour prendre en compte des pathologies professionnelles n'entrant pas dans les tableaux ou pour lesquelles l'une des conditions requises n'est pas remplie. Vous disposez probablement des données statistiques, qui témoignent non seulement de la progression du recours à ces outils mais aussi de leur souplesse, notamment pour la prise en compte des pathologies liées au burn-out – le taux d'acceptation s'élève à 40 % environ, soit bien davantage que la moyenne.