J'ai déjà eu l'occasion d'indiquer qu'après l'attentat des Champs Élysées, alors qu'une personne figurant au fichier S ne s'était pas vu retirer son arme, j'avais adressé aux préfets l'instruction de faire retirer les armes de toutes les personnes figurant au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) ou au fichier S pour les individus particulièrement signalés.