Comme le rapporteur, je confirme l'action très ferme du parquet de Paris, qui suit une politique de criminalisation systématique des individus qui reviennent de zones de guerre. On ne peut simplement relever une peine particulière de dix à quinze ans d'emprisonnement. Il convient d'avoir une réflexion d'ensemble sur ce sujet. On ne peut accepter ce genre d'amendements.