Je ne vois pas au nom de quoi nous serions revenus en arrière.
Nous avons noté un certain nombre de points d'accord – nous devons nous en réjouir, dans le souci de l'intérêt général – , mais il reste évidemment des désaccords sur les noms : s'il n'est pas question de convoquer des centaines de personnes pour des auditions qui dureraient des heures et des heures, nous devons entendre des responsables, des personnalités situées au sommet de la hiérarchie, qui connaissent mieux que d'autres l'ensemble des éléments, du fait de leur position – je pense en particulier au secrétaire général de l'Élysée. Il y a bien sûr d'autres personnes, au premier rang desquelles le principal intéressé, dont nous avons tous le nom en tête. Il serait inconvenant, inimaginable qu'il ne puisse pas être auditionné par la commission.