Monsieur le président, mes chers collègues, il faut rétablir la sérénité. Sur tous les bancs de l'opposition, qu'il s'agisse des Républicains, de la Nouvelle Gauche, de la France insoumise ou du parti communiste, des suggestions ont été faites pour crever certains abcès, afin de reprendre ensuite sereinement l'examen du projet de loi de révision constitutionnelle. Il serait temps de passer aux actes.