C'est une attitude politique. Il ne veut pas nous parler. Il nous méprise. Il souhaite que ce Parlement continue à dysfonctionner. Pour quelle raison ? Vous aurez beau vociférer, mes chers collègues, vous êtes, au fond de vous, d'accord avec moi. Vous ne comprenez pas pourquoi M. Castaner défend un castagneur, ni pourquoi il passe plus de temps dans les travées ou à la buvette, à prendre tant de cafés qu'il doit être dans un état de nervosité incomparable, plutôt que venir nous répondre calmement.
Je le répète : nous nous sommes adressés au Premier ministre et nous attendons la réponse. Tant qu'il n'y en aura pas, monsieur le président, je vous l'annonce au nom de notre groupe, nous ne reprendrons pas les travaux.