Vous avez parlé d'un droit fondamental, le droit à la connaissance. Ne risque-t-on pas de voir des personnes qui ne comprennent pas ce droit ou qui utilisent mal cette connaissance ? Désormais, dans les cabinets médicaux, des patients se présentent déjà munis d'un diagnostic, sur lequel il devient très difficile pour le médecin de revenir.