Les relocalisations obligatoires, ce n'est pas Dublin.
Il existe d'autres formes de solidarité, financière, en présence sur le terrain, sur lesquelles nous attendons que chacun s'exprime. Nous attendons que chacun les exerce. L'idée des centres d'accueil contrôlés, c'est que la responsabilité et le poids de l'accueil ne portent pas seulement sur les pays de première entrée. C'est évidemment sur une base volontaire : on ne va pas ouvrir un centre dans un pays qui ne souhaite pas en accueillir.