Sur quelles bases idéologiques développez-vous l'idée que, demain, les organismes professionnels réussiront seuls ce qu'une région sur deux n'est pas arrivée à faire ? Quelle est votre argumentation ? Et en quoi ne serait-il pas plus pragmatique et logique d'organiser une meilleure coopération entre le monde public et le monde privé pour développer équitablement ces plans de formation ?