Parallèlement aux dispositions relatives aux commissions paritaires interprofessionnelles régionales, cet amendement ajoute à la défaillance le dysfonctionnement répété au nombre des motifs justifiant la nomination d'un administrateur provisoire au sein d'un opérateur de compétences.
Cette mesure permet de remédier à une situation qui, isolée, n'est pas susceptible de caractériser une défaillance, mais qui, répétée, traduit un défaut dans la direction et l'administration de l'opérateur.