Le premier permet à l'étranger de choisir librement sa région de résidence lorsqu'il justifie ce choix par des raisons personnelles ou familiales ; le second l'autorise à s'opposer à son orientation lorsqu'il justifie de la possibilité d'être hébergé par un tiers. Tous deux complètent la rédaction de l'article 9 en favorisant une meilleure intégration des personnes – ce que Mme la rapporteure a dit souhaiter à plusieurs reprises.