Nous n'avons pas proposé de ne plus soigner les étrangers, encore moins les enfants.
À un moment donné, il faut être réaliste : l'aide médicale d'État a complètement dérivé. On en est à prendre en compte les frais d'examens prénuptiaux : je ne vois pas en quoi cela permet d'éviter la propagation des épidémies dans notre pays.