Le directeur de la préfecture de police que je suis n'a pas la possibilité de saisir motu proprio l'Inspection générale de la police nationale. C'est en général le préfet de police qui doit la saisir, lorsque des faits le justifiant sont portés à sa connaissance – et c'est ce qu'il a fait, en saisissant la délégation parisienne de l'Inspection générale des services.
Pouvez-vous me répéter votre deuxième question, madame la députée, car je n'ai pas eu le temps d'en prendre note intégralement ?