Avant de répondre précisément à votre question, monsieur le député, permettez-moi d'indiquer à la députée qui vient de m'interroger que j'avais l'impression de m'être exprimé dans un français correct. Très clairement, madame la députée, je m'inscris en faux contre vos propos : à aucun moment – sauf à ce que je me sois mal exprimé ou que mon français soit très approximatif – n'ai-je reconnu avoir donné une autorisation ou co-organisé quoi que ce soit. C'est une interprétation de votre part dont je vous laisse entièrement responsable.