Je confirme que le préfet de police m'a demandé des éléments d'explication qui lui ont été fournis de deux façons : orale, bien évidemment, dans l'urgence, dès que j'ai eu connaissance des faits ; écrite sous la forme d'une fiche qui lui a été transmise dans la journée. Que cette fiche m'ait été demandée par le préfet de police me paraît parfaitement naturel. J'ignore l'usage qui en a été fait ensuite.