Tout à fait : vous êtes d'ailleurs coutumier du fait, et il est bon que vous l'assumiez. À aucun moment vous ne m'avez entendu dire que nous ne souhaitions pas protéger les producteurs dans un certain nombre de domaines.
J'ai simplement indiqué, en réponse à l'amendement de M. Chassaigne, que cette proposition revenait à considérer que l'OFPM, FranceAgriMer, etc., et donc la puissance publique, seraient responsables des indicateurs qu'ils valideraient. C'est justement ce dont nous ne voulons pas : notre souhait est que les interprofessions prennent leurs responsabilités et valident elles-mêmes les indicateurs par le biais de compromis qu'elles auront su trouver ensemble. Je n'ai pas dit autre chose.