Nous avons débattu de cette question importante en première lecture. L'ajout proposé, tel que l'amendement est rédigé, semble conditionner l'appui à l'agriculture vivrière ou familiale aux cas où les agriculteurs sont déjà entrés dans des démarches de transition écologique, ou bien sous-entendre que l'agriculture vivrière et familiale s'inscrit par nature dans une démarche de transition écologique, ce qui n'est pas forcément toujours le cas.
La proposition ne paraît pas de nature à atteindre l'objectif que nous partageons : préciser les buts de la politique de coopération internationale de la France, en spécifiant que cette dernière soutiendra la transition écologique des pays partenaires. Il n'y a pas de valeur ajoutée de ce point de vue. Avis défavorable.