L'ajout proposé ne concerne que deux filières, et deux éléments seulement de leur mode de production actuel, d'ores et déjà contestés par le Gouvernement dans les instances européennes et internationales. C'est ce que j'ai fait hier, dans une déclaration lors du conseil des ministres européens de l'agriculture à Bruxelles. Nous avons obtenu le refus des importations des viandes traitées aux antibiotiques à la fin juin 2018 : c'est une information importante.
Avis défavorable sur tous ces amendements.