Monsieur Potier, pourriez-vous me préciser si votre proposition, telle qu'elle est rédigée, obligera les restaurateurs à proposer ces doggy bags ? La version du Gouvernement me convient mieux dans la mesure où elle évite des charges supplémentaires pour les restaurateurs : ils pourront faire payer le client. Si le restaurateur qui ne le propose pas devait tomber sous le coup de la loi, cela me poserait problème : la situation économique des petits restaurateurs est déjà fragile et ils ont du mal à boucler leurs fins de mois.