J'entends votre question, mais il n'est pas nécessaire de légiférer sur ce sujet car, à l'instar d'autres pays européens, nous discutons avec le Conseil français du culte musulman et le Consistoire pour trouver ensemble des solutions pour réduire la souffrance animale au moment de l'abattage. Le dialogue est permanent avec les différents représentants des cultes. Nous avançons rapidement et dans le bon sens.